Press, Reuters, Agence France Presse et Panafricain News Agency (PANA)
ont des correspondants locaux basés à Conakry.
Les professionnels des médias sont organisés autour de plusieurs
structures telles :
1) l’OGUIDEM (l’Observatoire Guinéen de la Déontologie et de l’Ethique
des Medias) ;
2) l’AGEPI (l’Association Guinéenne des éditeurs de la Presse
Indépendante) ;
3) l’APAC (l’Association des Professionnelles Africaines de la
Communication) ;
4) l’A.J.G (l’Association des Journalistes de Guinée) ;
5) l’UPF-Guinée (l’Union de la Presse francophone) ;
6) URTELGUI (Union des radios et Télévisions Libres de Guinée).
Le secteur des média est assisté des maisons d’édition (CODIPRESTA, SPI,
GUICOMED) et de sociétés de distribution (SOGUIDIP, FATIM Presse et
Mohamed Diallo).

2.3. Au plan des ressources humaines
On peut estimer les emplois directs à plus de 3 000 chez les opérateurs,
FAI et distributeurs, SOTELGUI employant plus de la moitié de cet
effectif.
Compte tenu du faible développement du secteur, le nombre des emplois
indirects et dans le secteur informel est difficilement appréciable. Il reste
cependant non négligeable mais faible par rapport au potentiel.
La culture TIC ne semble pas non plus bien ancrée dans l’entreprise et
très peu semblent faire appel aux outils TIC autres que la messagerie et
le portable.
Le personnel des opérateurs de mobile qui sont des filiales ou membres de
grands groupes bénéficient de formation continue offerte généralement
par la maison mère.
Les principaux FAI et cybercafés offrent des initiations aux clients.
D’autres structures offrent des formations de niveau et de champs divers :
1) l’institut Polytechnique de Conakry (IPC) qui offre des formations en
télécommunications ;

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